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SIMON BOMO

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Après sa formation au CRD de Saint-Quentin, il écrit, adapte, met en scène une vingtaine de spectacles amateurs avant de se consacrer à la dramaturgie et à la mise en scène.

Il travaille auprès des Ateliers contemporains (compagnie de Claude Régy), puis d’Yves-Noël Genod pour les créations de Un petit peu de Zelda à la Ménagerie de Verre et re-création au théâtre de Vanves, 1er Avril aux Bouffes du Nord, Rester vivant en Avignon et au Rond-Point. Il accompagne Elodie Segui pour Le Yark à l’Apostrophe, Cosmos 110 et La modification des organes génitaux chez les poisssons du lac de Thoune au théâtre Gérard Philippe, Julie Bérès pour la création de Petit Eyolf au CDN de Caen et au Théâtre de la Ville, ainsi que Ursula Mikos pour son Marathon Shakespeare au CDN de Montreuil (dramaturgie et conseil artistique).

En danse, il conçoit des formes mixtes avec la chorégraphe Catherine Laymet au sein de la compagnie Colors of Dance – parmi lesquelles Rose, Rosa, Warda ou Syndrome D (écriture, dramaturgie, et mise en scène).

En parallèle, il se consacre à ses propres mises en scène, avec sa compagnie Ménagerie Sauvage. Au fur et à mesure, l’écriture de plateau et l’écriture à la table se confondent, et il commence à produire ses textes : Un cauchemar me paraîtrait plus court – réécriture de l’Athalie de Racine, Femmes/Squelettes, We had so much fun, and then the we died… et de nombreuses formes brèves.

 

Il a également enseigné la pratique du théâtre – notamment à l’université Paris IX, a dirigé Naxos Bobine – lieu alternatif d’échanges artistiques du XIème arrondissement de Paris, et suivi le master « Dramaturgie et mise en scène » de Nanterre-Université en formation continue.

 

En ce moment, il traduit des noubas andalouses, continue à accompagner des metteurs en scène dans leurs projets, et privilégie des expérimentations de travail en cycle court pour ce qui est des siens – principalement des écritures en extérieur, en petits comités, hors les cadres. Surtout, il consacre l’essentiel de son temps à l’écriture, préparant des formes théâtrales, mais aussi des projets plus intimes aux couleurs poétiques dont la forme se cherche encore comme adéquation au regard porté.

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